Détentrice d’un BAC (1998) et d’une maîtrise en psychoéducation (2001) à l’Université du Québec en Outaouais, Nathalie Rondeau se passionne pour la formation continue sur des thèmes divers. Elle croit que tous les champs d’étude et les expériences différentes de travail sont un plus pour elle, comme pour les familles et les enfants. Cette membre de l’Ordre des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec (OPPQ) possède aussi un DESS en toxicomanie (2008) et elle a récemment complété sa formation en psychothérapie (2019), lui permettant aussi d’afficher le titre de psychothérapeute. Elle a travaillé en centre jeunesse, pendant 7 ans, et travaille présentement depuis plus de 15 ans en milieu scolaire (régulier et classes spécialisées). Elle oriente les intervenants et supervise également plusieurs candidates à la maîtrise. Sa compétence, son engagement et sa détermination permettent aux familles de dénouer les situations les plus compliquées. En pratique privée, elle donne aussi diverses formations pour les parents, les éducateurs en milieu de garde, les enseignants et les directions d’école.
Cette mère de 3 enfants, empathique et patiente, croit fermement à l’importance du lien de confiance. En psychoéducation, elle privilégie des stratégies qui tiennent compte des valeurs de la famille et cela transparaît dans ses interventions avec les enfants et les familles. Elle a pour but d’aider à développer les capacités adaptatives et à diminuer les symptômes dans une perspective durable et à moyen-long terme. Elle est aussi en mesure d’offrir des évaluations psychoéducatives. En tant que psychothérapeute, elle se consacre sur la thérapie individuelle (enfant ou adulte), conjugale et familiale. Elle privilégie les approches systémique et humaniste (gestaltiste). Elle s’applique à dénouer les enjeux sous-adjacents à différentes problématiques (par exemple, pour la dépression ou les tensions familiales). Elle est aussi expérimentée avec le TDAH, les troubles du comportement, l’anxiété, les troubles de l’opposition, la dyspraxie et le syndrome de Gille de la Tourette.